BK trop petite

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On est tous passé par là…

Ou presque.

Il faut bien commencer un jour.

Et avec ses moyens.

J’ai découvert les jeux d’argent avec le casino en tout premier.

En 2002, je m’en souviens encore, c’était au casino de Gréoux les Bains.

(Bien avant les paris sportifs en 2010)

C’est un souvenir très moyen…

J’ai passé une excellente soirée, sauf le passage au casino.

J’avais perdu 40 euros en 15 ou 20 minutes.

J’ai de suite détesté ça.

Immédiatement, j’ai compris que je n’avais aucune chance.

Et pourtant, j’y suis retourné un bon nombre de fois.

Mais quasiment plus depuis que je suis parieur.

Une fois par an en général, je jette 20 balles dans une machine à poker et je bois un coup au casino de la Grande Motte ou de Palavas.

Le truc, c’est que ça me fait plus mal de perdre 20€ dans une machine à sous…

… que de perdre un pari à 100€.

Avec les paris sportifs, je sais que j’ai une chance au moins.

Bien sûr, avant de faire des paris à 100€, il m’a fallu du temps.

J’ai commencé petit comme tout le monde.

Avec 100€.

Que j’ai perdu en une seule fois car il n’y avait pas de bonus à l’époque…

(C’est le même couillon qui donne des conseils aujourd’hui)

Je te passe les années suivantes, tu dois imaginer à quoi elles ont ressemblé…

Ma première année avec le suivi d’un vrai tipster n’est pas très exemplaire non plus…

J’ai pris le meilleur que je connaissais à l’époque (je le suis toujours d’ailleurs et donne son nom dans mon groupe).

Je vais être honnête, j’ai misé plus que ses recommandations (4% au lieu de 1%)

(Oui, oui, toujours le même gars qui te dit de ne pas faire ça aujourd’hui)

Au bout d’un an, j’ai quasiment doublé le capital.

Essentiellement grâce à lui car mes propres paris ne m’avaient pas rapporté grand chose.

Avec une gestion de mise correcte, j’aurais fait +25% environ, ce qui aurait déjà été énorme !!!

Cela a bien sûr accéléré mon parcours.

Il faut tout de même savoir qu’à l’époque Facebook et Youtube venaient de naître.

Tout ce qu’on connaît aujourd’hui n’existait pas.

On trouvait des tipsters sur des forums.

Et des tipsters valides, il y en avait autant que les doigts sur une main.

Donc on savait avec qui on s’aventurait.

On pouvait prendre ce genre de risque.

En tout cas, j’étais d’accord pour prendre le risque.

Bref, j’ai encore fait un peu du freestyle l’année suivante avec mon suivi de tipsters (avec un 2e mais j’ai réajusté les mises) et puis je suis rentré dans les clous.

Aujourd’hui, mon capital de départ a presque été multiplié par 20.

Et même si c’est la jungle pour trouver un bon tipster, il y a beaucoup plus de possibilités qu’avant.

Ne serait-ce qu’au niveau des bonus de bienvenue…

S’il y en avait eu des valables à l’époque, je n’aurais pas eu besoin de faire ce mic-mac avec les mises.

Car on peut largement récupérer 400€ avec ces bonus si on est un peu malin.

Je ne recommande pas de faire ce que j’ai fait, surtout aujourd’hui, ce serait trop risqué.

Mais il existe des groupes, des communautés, il y a des conseils à gogo, des formations, des coachs…

Largement de quoi apprendre, trouver des bons tipsters, des bons bookmakers…

Tout ça pour te dire, que je me revois au casino, me disant à moi même, je ne suis pas fait pour gagner de l’argent au jeu.

Même si je ne vois pas les paris sportifs comme un jeu d’argent, j’ai la preuve que c’est faisable.

Qu’on peut battre les bookmakers.

Qu’on peut gagner de l’argent.

Que c’est possible.

Et par conséquent, que toi aussi tu peux le faire.

Alors cette année je ne doublerai pas mon capital, ce sera la première fois sur les 4 dernières années.

Certaines pertes que j’ai eues cette année finalement, rééquilibrent ma mauvaise (et heureuse) gestion de mise des premières années.

Mais ce n’est pas grave, car quand je repense au chemin parcouru, je ne peux qu’être satisfait.

Et me rappeler que les paris sportifs, c’est un marathon, pas un sprint.

Il faut être patient.

Apprendre, sans cesse.

Ne jamais abandonner.

Ne pas rester seul.

Et réinvestir ses bénéfices pour faire exploser ses gains d’ici quelques années.

Mon objectif et mon plan avec ces 500€ de départ ?

Tout réinvestir.

Chaque année.

Pour faire 30000€ de bénéfices sur l’année 2020.

Je pense sincèrement que je vais y arriver.

Malgré tous mes petits écarts aux débuts…

… Sans ce petit capital de départ rien n’aurait été possible.

Et c’est ça le plus important.

Avec la gestion évidemment.

Je t’en reparle demain (de la bonne, celle que je recommande aujourd’hui…)