Ennui, frustration (et addiction ?)
Depuis avant-hier soir, la Ligue des nations est finie.
A part si tu paries sur les championnats d’été, tu n’as peut-être plus rien sur quoi parier…
Comme cet été, il n’y a ni Euro, ni Coupe du Monde, ni rattrapage d’après confinement, ça risque d’être long jusqu’en août…
De quoi s’ennuyer en attendant le retour des paris sportifs, son envie de parier et forcément de créer une certaine frustration.
Certains font une coupure complète pendant l’été.
Car les championnats sur lesquels ils parient sont à l’arrêt.
Ils vont patienter et profiter de l’été.
Pour les autres…
Cette période est dangereuse.
Comme le dit ce problème français : “Les conseils de l’ennui sont les conseils du diable”.
Tu es peut-être un parieur du genre à parier sur tout ce qui se présente.
Peut-être même que ça marche pour toi.
Mais encore une fois, quand on voit la faible proportion de parieurs gagnants sur le long terme, ça montre que se disperser, ce n’est pas une bonne idée.
Le risque ?
Il est évident : perdre des bénéfices durement gagnés sur des choses que tu maîtrises beaucoup moins.
Sauf si tu es prudent et que tu paries en fun avec des toutes petites mises.
Ou que tu profites de cette période pour tester des choses.
L’autre chose à laquelle il faut faire attention ?
Une incapacité à stopper les paris sportifs, c’est peut-être un signe d’addiction.
L’addiction, je te le rappelle n’est pas nuisible que financièrement, elle l’est surtout mentalement.
Car tous les problèmes d’addictions viennent de la tête, pas du portefeuille.
Attention !!!
Il ne faut pas croire que l’addiction, l’ennui et la frustration touchent uniquement les parieurs perdants !
Je vais te parler de moi pour ça.
Depuis 1 an, j’ai un algorithme qui tourne assez bien avec de bons résultats.
Au début, pendant les périodes où il n’y avait pas ou peu de paris, ça me créait de la frustration.
La frustration de ne pas avoir de matchs sur lesquels parier.
La frustration de ne pas gagner plus !
Chose que je ne connaissais pas avant car je pariais sur Ligue 1 et Premier League.
Là, cet algo analyse plus de 80 championnats !
La conséquence ?
Pendant l’été dernier, j’ai élargi mes critères de sélection pour avoir plus de paris à faire.
J’ai alors changé un petit détail dans mon algo.
Je pensais que : plus de pronos = plus de bénéfices.
Le résultat ?
L’année dernière, entre le 24 mai et le 18 août 2021, j’ai fait 140 paris au lieu de 101.
Les 39 paris supplémentaires apportés par ce petit détail m’ont fait perdre -5,34%.
Tu vois donc que c’était une erreur magistrale de vouloir en faire plus pour gagner plus !.
Er tu comprends peut-être mieux maintenant pourquoi je te fais cette mise en garde
Je ne me mets absolument au-dessus de personne, loin de là.
Je voulais simplement te montrer que personne n’est à l’abri.
Ni les parieurs perdants, ni les parieurs gagnants.
Ni les parieurs débutants, ni les parieurs expérimentés.
Les seuls gagnants de cette période estivale ?
Les bookmakers évidemment.
Mais aussi les parieurs qui restent collés à leur méthode.
Et ceux qui savent tirer des leçons de leurs erreurs.
Et de celles des autres, comme des miennes par exemple…
Alors s’il te plaît, ne fais pas comme moi (sers toi de mes erreurs) et essaie de faire attention pendant les semaines qui arrivent de ne pas faire n’importe quoi !